porcelaine ), la Gare des Bénédictins qui exprime les techniques et les conceptions décoratives des années 1920/1930. On peut y voir des sculptures allégoriques et des vitraux "art déco"du maître verrier Francis Chigot. Place de la Motte, les "Halles", construites pour l'Exposition Universelle en 1889 , sont décorées sur les façades extérieures de frises en porcelaine qui détaillent toutes les victuailles de ce haut lieu des métiers de la bouche. La pittoresque rue des "Bouchers" avec ces maisons à pans de bois, ses enseignes pleines d'humour ( Restaurant :
mercredi 28 octobre 2009
CHÂTEAUX ET JARDINS EN BORD DE LOIRE: LIMOGES
porcelaine ), la Gare des Bénédictins qui exprime les techniques et les conceptions décoratives des années 1920/1930. On peut y voir des sculptures allégoriques et des vitraux "art déco"du maître verrier Francis Chigot. Place de la Motte, les "Halles", construites pour l'Exposition Universelle en 1889 , sont décorées sur les façades extérieures de frises en porcelaine qui détaillent toutes les victuailles de ce haut lieu des métiers de la bouche. La pittoresque rue des "Bouchers" avec ces maisons à pans de bois, ses enseignes pleines d'humour ( Restaurant :
mardi 27 octobre 2009
CHÂTEAUX ET JARDINS EN BORD DE LOIRE: TOURS ET LIMOGES
lundi 26 octobre 2009
CHÂTEAUX ET JARDINS EN BORD DE LOIRE: LE CHÂTEAU DE VILLANDRY
CHÂTEAUX ET JARDINS EN BORD DE LOIRE: CHENONCEAU
dimanche 25 octobre 2009
CHÂTEAUX ET JARDINS EN BORD DE LOIRE: CLOS LUCÉ
jeudi 22 octobre 2009
CHÂTEAUX ET JARDINS EN BORD DE LOIRE CHAMPIGNONNIÈRE
CHÄTEAUX ET JARDINS EN BORD DE LOIRE
mardi 20 octobre 2009
CHÂTEAUX ET JARDINS EN BORD DE LOIRE: CHAMBORD
Dès son accession au trône en 1515, François 1er part conquérir la province du Milanais en Italie que son prédécesseur Louis XII n'avait su conserver. De retour en France, marqué par sa victoire de Marignan et influencé par l'architecture italienne de la Renaissance, le jeune roi ambitieux et passionné de chasse entreprend la construction du château de Chambord en 1519.
Tout en conservant, dans sa conception, l'apparence d'une forteresse médiévale (un donjon central flanqué de quatre grosses tours, deux ailes et une enceinte clôturant le tout), Chambord est la synthèse surprenante entre les formes héritées des siècles passés et l'architecture novatrice de la Renaissance italienne (des loggias, une terrasse, des pilastres et des moulures horizontales rythmant les façades).
Voulu comme un relais de chasse Chambord possède une architecture qui en a fait le château de toutes les démesures : 156 mètres de long, 56 mètres de haut, 77 escaliers, 282 cheminées et 426 pièces. Pourtant malgré ses dimensions colossales, sa silhouette séduit toujours par sa grâce et son équilibre. De tout les matériaux utilisés pour cette construction, c'est le tuffeau qui attire l'oeil du visiteur. Bien qu utilisée dans la majorité des sites du Val de Loire, c'est certainement à Chambord que cette pierre calcaire, à la fois tendre et fragile, est travaillée avec le plus de virtuosité.
Au centre du donjon s'élève le célèbre escalier à doubles révolutions desservant les trois étages du château. Celui-ci est constitué de l'imbrication de deux escaliers en vis évoluant autour du noyau creux central. Cet ensemble supporte la tour lanterne surmontée de la fleur de Lys. Son décor sculpté est l'un des chefs d'oeuvre de la Renaissance française.
A chaque étage autour de l'escalier se déploient quatre vestibules formant une croix. Ces salles distribuent quatre quartiers d'habitation tous parfaitement identiques. Ce plan très novateur en France et l'ingéniosité de l'escalier central suggèrent que Léonard de Vinci, venu en France à la demande de François 1er dès 1516, pourrait être l'un des inspirateurs du projet.
Le premier étage permet aux visiteurs de découvrir les différents états d'habitation du château, du XVIe au XIX siècle, par une évocation des aménagements intérieurs tels qu'on pouvait les voir à ces époques.
La construction de la chapelle, au même niveau que les appartements du roi François 1er fut terminée sous le règne de Louis XIV. De dimensions exceptionnelles, c'est la plus grande pièces du château.
Le logis de François 1er initialement installé dans le donjon fut transferé à sa demande dans l'aile Est, se compose d'une chambre, de deux cabinets, d'un petit oratoire et d'une salle du conseil d'une superficie de 270m2, mais cloisonnée depuis le début du XVIIè siècle par Gaston d'Orléans. L'appartement de la reine, situé dans la tour adjacente à l'appartement du roi est composé d'une salle des gardes, de deux antichambres et de pièces privées qui furent transformées en salle à manger au XIXe siècle.
Les appartements du XVIIIè siècle, le Musée du Comte de Chambord , les sculptures des voûtes des grandes salles du second étage qui associent le F, monogramme de François 1er à son emblème la salamandre, l'animal mytique capable de vivre dans les flammes et qui illustrent la devise du souverain " nutrisco et extingui" je me nourris (du bon feu) et j'éteins (le mauvais feu)., forment un ensemble tout à la fois grandiose et harmonieux qui n'a cessé de subir des transformations aux cours des siècles.
Chambord n'a jamais été autant habité qu'au XVIIIè siècle. Les critères de confort ayant bien changé depuis François 1er et afin de parvenir à le chauffer, on diminue à cette époque les volumes des salles en les cloisonnant en créant des alcôves et en abaissant les plafonds. Des chemisées de tailles plus modestes sont aménagées.
Les terrasses du château offrent à la fois le spectacle des toîtures, étrange symbiose de gothique flamboyant et de Renaissance Italienne revisitée par les artisans français et un magnifique panorama sur le domaine de chambord. C'est l'endroit idéal pour faire de magnifiques photos.
Le parc de Chambord, avec son mur de clôture de 32 kms de long ouvert par 6 portes, représente, avec ses 5440 hectares, la surface de Paris intra-muros. Il constitue aujourd'hui le plus grand parc forestier clos d'Europe.
Réserve nationale de chasse Chambord abrite toute une faune de nombreux animaux en totale liberté.
J'ai été éblouie par cette visite qui m'a raménée 40 ans en arrière....
lundi 19 octobre 2009
CHÂTEAUX ET JARDINS EN BORD DE LOIRE: BLOIS
Style Gothique, le château du Moyen Âge, XIIIème siècle.
Du Château Médiéval, construit par les Comtes de Blois à partir du Xème siècle, ne subsiste aujourd'hui que la salle seigneuriale plus connue sous le nom de "Salle des Etats." C'est la plus grande salle civile gothique du début du XIIIème siècle conservée en France. Construite par le Comte Thibault VI avant 1220, elle a gardé ses dispositions anciennes : deux vaisseaux couverts d'un lambris en bois séparés par une file de six colonnes. Utilisée comme salle de justice elle accueille à deux reprises, en 1576 et 1588, les députés des trois ordres pour les États Généraux convoqués par Henri III.
Style Flamboyant, l'Aile Louis XII, construite en brique et pierre entre 1498 et 1503, elle est marquée par le style gothique flamboyant où se mêlent aux éléments d'influence nordique des ornements d'origine italienne. Actuellement, les appartements royaux du premier étage abritent le musée des Beaux-Arts.
Style Renaissance, Aile François Ier, 1515-1520, édifiée moins de 15 ans après l'aile Louis XII, elle illustre la rapide évolution du décor architectural influencé par l'Italie, appliqué sur des structures encore très françaises. L'escalier en vis abrité dans une tour largement ouverte illustre parfaitement ce mélange d'influence.
Style Classique, l' Aile Gaston d'Orléans, 1635-1638. Bâtie par François Mansard pour le duc Gaston d'Orléans, frère de Louis XIII. Cette aile restée inachevée est un chef d'oeuvre de l'architecture classique française. La cage d'escalier est une éblouissante création à coupoles emboîtées ornées de sculptures allégoriques.
Il est à noter que le Château de Blois a été le témoin de nombreuses intrigues ( assassinat du Duc de Guise en autre ) et a échappé plusieurs fois à la destruction.
Si vous voulez en savoir plus je vous suggère de consulter le site :www.france balade.com.
dimanche 18 octobre 2009
CHÂTEAUX ET JARDINS EN BORD DE LOIRE : SARLAT
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samedi 17 octobre 2009
CHÂTEAUX ET JARDINS EN BORD DE LOIRE
Partis en car dès 7 heures du matin de la place d'Astarac, notre groupe composé de 40 personnes est arrivé à Sarlat pour le repas de midi. Une pause café en cours de route nous avait permis de nous relaxer un peu.